La bonne Lady Ducayne

Traduit de l'ANGLAIS par JACQUES FINNE

À propos

Bella est pauvre et les temps sont rudes. Pour subvenir à ses besoins et à ceux de sa mère, elle se fait demoiselle de compagnie. Par quelque hasard providentiel, Bella trouve une place en or auprès d'une vieille veuve immensément riche et généreuse, la «?bonne lady Ducayne?». Celle-ci vit en Italie, où Bella la suit et savoure, les premiers temps de son service, les délices d'une vie facile et heureuse. La bonne Lady n'est pas exigeante. Bella est très libre. Elle se fait des amis dans la bonne société anglaise. Mais, très progressivement, de façon inexplicable, Bella dépérit. Les lettres qu'elle envoie à sa mère témoignent de la lente mais sûre atrophie de son énergie, de son humeur teintée de mélancolie. Promenades au grand air, revitalisants, repos... Rien n'y fait. Bella se meurt alors qu'apparaissent sur ces bras des traces de morsures de moustiques aussi féroces qu'invisibles.

Mais qui se cache exactement derrière la bonne Lady Ducayne et le récit auquel elle prête son nom?? Ancien régime moribond pompeur de sang d'une jeunesse laborieuse pressée de sortir de sa condition?? Lutte des classes déguisées en histoire de vampires??

Connue comme l'une des plus grandes et prolifiques écrivaines professionnelles de son temps, Mary Elizabeth Braddon (1835-1915) a signé, sous son nom ou d'innombrables pseudonymes, plus de quatre-vingts romans et un nombre incalculable de nouvelles. "La bonne Lady Ducayne" appartient au genre, assez rare chez elle, du récit fantastique.


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  • Auteur(s)

    Mary Elizabeth Braddon

  • Traducteur

    JACQUES FINNE

  • Éditeur

    Corti

  • Distributeur

    Sodis

  • Date de parution

    26/10/2023

  • Collection

    Litterature Etrangere

  • EAN

    9782714313072

  • Disponibilité

    Disponible

  • Nombre de pages

    80 Pages

  • Longueur

    17 cm

  • Largeur

    13.6 cm

  • Épaisseur

    0.7 cm

  • Poids

    88 g

  • Support principal

    Grand format

Infos supplémentaires : Broché  

Mary Elizabeth Braddon

Mary Elizabeth Braddon (1835-1915) est née à Londres. Fille d'un avocat, elle choisit d'abord d'être actrice tout en contribuant à divers périodiques. Puis elle publie sous la forme de feuilletons les deux romans qui l'ont rendue célèbre : Le Secret de Lady Audley (1862) et Aurora Floyd (1863). Auteur de quelque 80 romans, elle a dominé – avec Wilkie Collins – le roman « sensationnel » de la période victorienne. Elle est aussi la créatrice du populaire Belgravia Magazine (1866), où elle publie des récits de voyages, de la poésie et des romans. Sa popularité est due à d'ingénieuses constructions narratives qui lui ont valu l'admiration de Robert Stevenson et Henry James, et ont fait dire à William Thackeray : « Si j'étais capable d'inventer des intrigues comme Miss Braddon, je serais le plus grand écrivain anglais. » Sur les traces du serpent (1860), son premier roman, fut un succès de librairie.

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