Candide ou l'optimisme

À propos

Chassé du château de son enfance, son « paradis terrestre », Candide est entraîné bien malgré lui dans une succession d'aventures calamiteuses. Il s'étonne, s'offusque, se lamente... L'humanité serait-elle foncièrement mauvaise ? Le jeune garçon assiste, impuissant, à la mort de son rêve : celui d'un monde parfait. Perdant sa naïveté et son «optimisme», peu à peu il se résigne. La verve et l'ironie mordante de Voltaire se conjuguent à merveille dans Candide pour évoquer, sous des airs de légèreté, des sujets essentiels.- Objet d'étude : Dénoncer les travers de la société- Dossier pédagogique spécial nouveaux programmes- Prolongement : Vers le bacClasse de troisième.


Rayons : Littérature > Romans & Nouvelles


  • Auteur(s)

    Voltaire

  • Éditeur

    J'ai Lu

  • Distributeur

    Union Distribution

  • Date de parution

    23/08/2017

  • Collection

    Librio ; Litterature

  • EAN

    9782290147894

  • Disponibilité

    Épuisé

  • Nombre de pages

    160 Pages

  • Longueur

    21 cm

  • Largeur

    13 cm

  • Épaisseur

    1 cm

  • Poids

    156 g

  • Diffuseur

    Flammarion

  • Support principal

    Poche

Infos supplémentaires : Broché  

Voltaire

1694-1778. Dernier enfant d'un riche notaire, Voltaire fait ses études chez les Jésuites et fréquente la haute société libertine. A la suite d'une altercation avec le Chevalier de Rohan, il s'exile en Angleterre où il découvre la philosophie de Locke (1726-1729). Il partage ensuite la vie de Mme du Châtelet, puis rentre à Paris où il mène une carrière de courtisan avant de tomber en disgrâce. De 1750 à 1753, il voyage à la cour de Berlin et se brouille avec Frédéric II. Enfin, en 1760, il s'installe à Ferney, sur la frontière franco-helvétique et en compagnie de Mme Denis, il règne sur un millier d'âmes, se fait agriculteur, architecte, fabricant de montres et de bas de soie. En 1778, il revient à Paris: le peuple de la capitale l'accueille avec un tel enthousiasme que certains historiens voient dans cette journée du 30 mars la première des "journées révolutionnaires".
On le croyait dramaturge; de nos jours, son théâtre est oublié mais il nous reste 1500 lettres, un Dictionnaire philosophique et une trentaine de contes. Il nous reste son intelligence, son ironie, sa rosserie, sa générosité et sa fantaisie. Maître de l'humanisme, il a collaboré à l'oeuvre de civilisation par sa lutte contre toutes les oppressions, au nom du bien-être, de la justice et de la libre pensée.

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