Nouvelle du jeu d'échecs (lecture d'image par Agnès Verlet)

Stefan Zweig

Cet article est remplacé par : Nouvelle du jeu d'échecs 

Traduit de l'ALLEMAND (AUTRICHE) par BERNARD LORTHOLARY

Résumé

Édition enrichie (préface, notes, bibliographie et chronologie).

Un paquebot en route pour Buenos Aires. À son bord vont s'affronter le champion du monde d'échecs et un amateur anonyme, sous le regard du narrateur, passionné par les monomanies. Or l'amateur est une ancienne victime du nazisme. Emprisonné, privé de toute distraction, il s'est plongé dans un manuel d'échecs trouvé par hasard et a été "intoxiqué" : durant des mois, sur un échiquier imaginaire, il a joué des parties contre lui-même, jusqu'à basculer dans la schizophrénie. S'il rejoue aux échecs, la folie le guette.
Zweig a achevé cette nouvelle la veille de son suicide, en 1942. Tous les thèmes de son oeuvre y sont concentrés : le passage du monde d'hier au monde d'aujourd'hui, les passions morbides, l'intelligence pervertie, les individus porteurs d'un désastre.
Cette parabole d'une humanité brillante et décadente n'a pas fini de faire résonner en nous ses métaphores et son mystère.


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  • Auteur(s)

    Stefan Zweig

  • Traducteur

    BERNARD LORTHOLARY

  • Éditeur

    Folio

  • Distributeur

    Sodis

  • Date de parution

    20/05/2014

  • Collection

    Folioplus Classiques

  • EAN

    9782070456840

  • Disponibilité

    Épuisé

  • Nombre de pages

    160 Pages

  • Longueur

    17.8 cm

  • Largeur

    10.8 cm

  • Épaisseur

    0.6 cm

  • Poids

    100 g

  • Diffuseur

    Gallimard

  • Support principal

    Poche

Infos supplémentaires : Broché  

Stefan Zweig

Stefan Zweig (1881-1942), romancier, nouvelliste et dramaturge autrichien, naturalisé britannique, est l'auteur d'une œuvre prolifique qui ne cesse de susciter l'engouement du public et de multiples adaptations. Figure de proue lucide des cercles intellectuels de Vienne d'avant-guerre, il fuit la montée du nazisme et gagne l'Angleterre alors que "La Peur" - écrite en 1913 et parue en allemand en 1920 - paraît enfin en français (1935). Admiré pour la profondeur incarnée avec laquelle il traite l'exploration psychique de ses personnages féminins, il se fait connaître aussi pour son pacifisme. Révulsé par la Seconde Guerre mondiale, il convainc sa jeune épouse de se suicider avec lui, au Brésil, à l'âge de 60 ans.

Bernard Lortholary

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