Dans moins de six heures, Emma verra en chair et en os la star du manga Miki Kawase ! Pour son anniversaire, son père lui a offert le cadeau dont elle rêvait : deux billets de train pour Leipzig, la seule ville européenne où son idole, en tournée mondiale, a choisi de faire escale. Mais le voyage va s'avérer plus mouvementé que prévu...
Niveau A2 Intermédiaire du CECRL (« J'ai commencé l'allemand » / Dès la 5è - 4è - 3è).
Tip Tongue, ce sont avant tout de vraies, de bonnes, de chouettes histoires, écrites par des auteurs de littérature jeunesse anglophones, hispanophones ou germanophones, qui utilisent une langue authentique. Les romans passent petit à petit en anglais, en espagnol ou en allemand, de manière progressive et naturelle, et le dernier chapitre est intégralement dans la langue-cible. Chaque histoire fait vivre au lecteur un véritable voyage linguistique, en immersion. Plaisir de lecture immense et fierté de comprendre une langue étrangère, tous les ingrédients d'une pédagogie positive sont au rendez-vous !
Tip Tongue a obtenu le Label européen des langues, récompensant des projets pédagogiques d'excellence en matière d'apprentissage et d'enseignement innovants des langues étrangères..
L'histoire d'un médecin polonais, défenseur des droits d'expression et de participation des enfants, qui resta célèbre pour la création d'un orphelinat juif organisé en "république des enfants". Son engagement pour ces derniers l'amena, après avoir traversé avec eux les privations du ghetto de Varsovie, à les accompagner jusqu'au camp de concentration de Treblinka.
Militant syndicaliste brésilien défenseur des seringueros, les ouvriers du latex, Chico Mendes s'est illustré dans la lutte contre la déforestation de la région amazonienne. Ses convictions lui valurent d'être assassiné en 1988.
Barbara marche pour le climat. Elle s'est tellement engagée dans le mouvement des jeunes pour sauver la planète qu'elle est devenue le nouveau visage de cette contestation. Impossible pour elle d'accepter que les adultes soient aussi passifs ou cyniques. Mais son franc-parler ne plaît pas à tout le monde : un mot de trop lors d'une interview, et elle est victime d'un véritable lynchage médiatique. Pour trouver la force de résister, elle écrit un journal à sa grand-mère, dont le destin tragique prend un tout nouveau sens.
Elsa rêve de devenir journaliste photo, d'aller le plus près possible des événements, de témoigner. L'année de son bac, son père lui décroche un poste dans une station de radio. Ce stage, qui débute le 1e avril 1994, va faire basculer sa vie. Car quelques dizaines d'heures plus tard, à six mille kilomètres de là, au Rwanda, des incidents terribles commencent à alerter te monde entier. Depuis la salle de rédaction, pour ta première fois de sa vie, elle assiste à l'Histoire en direct. Mais c'est sur le terrain qu'elle voudrait aller. Lorsque Lucie, une journaliste de la radio, est envoyée en reportage dans les camps de réfugiés de Goma, Elsa réussit à embarquer à ses côtés. Elle découvre alors l'horreur du génocide et les difficultés du métier. Car l'enquête que Lucie a décidé de mener va se révéler très dangereuse.
Partout sur la planète, des hommes et des femmes se battent pour protéger l'environnement. Malgré les conséquences désastreuses et visibles du réchauffement climatique, leur lutte est souvent une course d'obstacles. Ils doivent surmonter l'égoïsme, l'indifférence, le mépris, la lâcheté ou la paresse de leurs concitoyens et des responsables politiques. La plupart n'ont pas d'autre choix que de défendre leur terre, leur eau, leur forêt. Leur survie en dépend. De la Tasmanie à la Chine, Du Gabon au Chili, cette galerie de portraits illustrée avec un humour grinçant par Alain Pilon évoque les nombreuses menaces provoquées par la course au profit et à l'exploitation intensive des ressources. Des exemples nécessaires.
Comme chaque dimanche, Lolo accompagne son grand-père à la pêche. Comme chaque dimanche, en regardant l'usine qui borde l'étang, son grand-père lui raconte le temps où il y était ouvrier. Enfin, ce jour-là, un gros brochet mord à l'hameçon.
Depuis un an, Solène et Gabriel ont interdiction de voir leur grand-mère Bernadette.
Une décision de leurs parents qu'ils trouvent totalement injuste. Un après-midi, à la sortie de l'école, Bernadette les attend : elle a décidé d'enlever ses petits-enfants.
Léonie revient à Lyon pour quelques jours, elle est danseuse à Bruxelles dans une compagnie prestigieuse, elle a dix-neuf ans. Elle a été adoptée par une bonne famille lyonnaise, elle est noire. Harcelée au téléphone, agressée dans la rue et dans le métro, elle se rend vite compte que ce n'est pas le fait du hasard. Devant l'attitude embarrassée de ses parents, elle va détricoter le fil de son histoire. Non, elle n'est pas née en France mais au Rwanda, où son père faisait des affaires avec l'armée. Vingt ans après le génocide, la plaie est encore ouverte pour certains de ses compatriotes, avides de vengeance. Pour Léonie c'est la stupéfaction, la révélation de son identité noire à laquelle elle n'avait jamais pensé dans ces termes là, et les cauchemars qui l'assaillent depuis toujours prennent leur sens.
Heureusement, il y a la danse, et son amoureux qui veille.
« Je ne suis plus coupée en deux. Je me sens rassemblée. La maison et l'école. La Turquie et la France. Je n'ai plus peur de me perdre. » Par ces mots s'achève la première nouvelle de ce recueil. C'est Nur qui les prononce, dont le prénom veut dire « lumière ».
Il y a aussi Sacha, qui n'aime que le foot et porte en lui sans le savoir la déchirure d'un père ayant dû fuir Al-Quaïda. Antoine, qui voudrait bien que ses parents cessent de l'appeler Tonio depuis qu'ils ont échappé au régime de Franco.
Partir. S'exiler. Reconstruire... Et découvrir, toujours, que pour devenir un autre, il faut comprendre d'où l'on vient, et celui qu'on a été. Car ce n'est que relié au passé, à l'ailleurs, que le présent devient vivable, ici, en France.
on l'appelle didi, pour géraldine, et c'est le dernier été qu'elle passe à la douloire chez sa grand-mère, mais elle ne le sait pas encore.
ici, au milieu des pins, didi se sent vraiment chez elle, plus que dans le nord oú elle vit avec ses parents. l'incendie qui vient de ravager la pinède va déclencher, par sa violence, une cascade de drames et de révélations. qui donc a peint ce tableau de la très belle jeune femme, est-ce vraiment son grand-père ? pourquoi sa mère dit-elle n'avait aucune mémoire ? et quelle est cette petite voix qui l'appelle depuis toujours ? la douloire cache bien des secrets.
pourtant ses proches savent tant de choses sur l'histoire familiale qu'elle ignore, zaccharie y compris, ce garçon trop parfait qui la bouleverse.
Depuis plus de six mois, Philippe, le fils aîné, a disparu à l'âge de seize ans. Sa famille n'a eu aucune nouvelle, à l'exception d'un message sur le répondeur. Est-il mort ? A-t-il fugué ? Rien ne peut expliquer sa disparition. C'était un garçon sans problèmes, dans une famille apparemment heureuse, même si elle n'est pas tout à fait conventionnelle. Le roman s'ouvre par le coup de fil d'un gendarme : Philippe vient d'être arrêté dans une petite ville du sud-ouest. Depuis six mois, il traînait avec un groupe de jeunes routards, vivant de mendicité, logeant dans des squats. Qu'est-ce qui a bien pu l'amener à préférer cette vie de SDF au confort de sa vie antérieure ? Et dans quel état va-t-il revenir ?
En octobre 2022 aura lieu la Coupe du monde de rugby féminin. L'équipe de France qui participera à cette compétition est l'héritière d'une lignée de "combattantes" qui, depuis les années 1930, ont lutté pour pouvoir pratiquer ce sport, organiser des équipes et des compétitions, obtenir des terrains et des vestiaires. Les préjugés, la domination masculine et le regard de la société n'ont pas facilité leur tâche. Mais aujourd'hui le rugby est considéré comme un sport qui permet l'émancipation des filles, et il est devenu très populaire chez elles. Vive les nouvelles combattantes !
À la fin des années 1950, Rachel Carson se concentra sur la protection de l'environnement et sur les problèmes causés par les biocides de synthèse. Ceci la conduisit à publier «Silent Spring» («Printemps silencieux») en 1962 qui déclencha un renversement dans la politique nationale envers les biocides - conduisant à une interdiction nationale du DDT et d'autres pesticides. Le mouvement populaire que le livre inspira conduisit à la création de l'Environmental Protection Agency. Carson reçut à titre posthume la médaille présidentielle de la Liberté. Un prix international décerné aux défenseurs de l'environnement porte son nom, le Prix Rachel Carson, décerné depuis 1991.