Filtrer
Support
Éditeurs
- Pocket (4)
- Rocher (4)
- Table Ronde (4)
- Culturea (2)
- Folio (2)
- Payot (2)
- Plon (2)
- 10/18 (1)
- Belles Lettres (1)
- Debolsillo (1)
- Elkar (1)
- Gallimard (1)
- L'Inventaire (1)
- Le Livre De Poche (1)
- Lezard (1)
- Nouvelles Editions Latines (1)
- Philippe Lebaud (1)
- Presses De La Cite (1)
- Random House Uk (1)
- Rivages (1)
- Seuil (1)
- Txalaparta (1)
- Vintage Classic (1)
Littérature
29 produits trouvés
-
En 1954, sous contrôle médical et animé d'une volonté scientifique, Aldous Huxley absorbe de la mescaline, alcaloïde actif du peyotl, ce cactus indien qui procure des visions colorées accompagnées de divers phénomènes psychologiques. Son but : ouvrir les portes de la perception , selon l'expression consacrée par William Blake. Une véritable introduction à la vie mystique.
L'homme connaît tant d'autres choses ; il ne se connaît pas lui-même.
Aldous Huxley Préfacé et traduit de l'anglais par Jules Castier -
En 1946, dans sa préface à la réédition du Meilleur des mondes, Huxley écartait l'idée de retoucher, de corriger, d'actualiser ce chef-d'oeuvre déjà vieux de quinze ans. En 1958 - date de ce Retour - ce sera chose faite. Il ne s'agit plus de fiction : ce monde, le monde, n'est plus un roman. La bombe H, deux dictatures sans précédent, l'explosion démographique sont passées par là...
Avec une acuité redoublée et un impitoyable sens de l'humour, Huxley le critique relit Huxley le prophète et le confirme : vous croyiez rêver, vous le viviez. Le meilleur des mondes, c'est le nôtre... -
Tour du monde d'un sceptique
Aldous Huxley
- Rivages
- Rivages Poche ; Petite Bibliotheque
- 20 Mai 2015
- 9782228913393
Lorsqu'il publie ce livre en 1926, Aldous Huxley (1894-1963) n'a pas encore écrit Le Meilleur des mondes mais il est déjà le porte-parole des intellectuels anglosaxons.
Dans ce qui est, bien plus qu'une chronique de voyage, un véritable itinéraire spirituel, ce sceptique que tout intéresse saisit l'instant avec humour et un sens rare de la formule. En quête de l'incertaine vérité de l'homme, il doit bien reconnaître que « voyager c'est découvrir que tout le monde a tort ».
-
« Quoiqu'il fût étendu, le répertoire de Molly, comme celui d'autres discoureurs plus célèbres, était limité. Bonne ménagère, elle savait utiliser en hachis les restes de la conversation du dîner de la veille pour suffire au déjeuner du jour ».
Les perfidies de l'intelligentsia britannique des années vingt n'ont pas échappé à l'oeil aiguisé d'Aldous Huxley. La société qu'il peint au couteau ne se contente pas d'avoir de la brillance. Elle a le talent d'être cynique. Ses paroles sont acérées comme les ongles de ces dames et ses usages secrètement codés.
Huxley possède l'art de composer une mélodie en jouant sur les dissonances. Maître en contrepoint, il réussit là un chef-d'oeuvre d'ironie, clin d'oeil de la passion à la raison. -
En 1934, quand paraît en Grande-Bretagne ce Journal d'un voyageur, Aldous Huxley est déjà l'auteur du cé- lèbre Meilleur des Mondes. Écrivain réputé pour son iro- nie et son scepticisme, il mène alors une vie dans la plus pure tradition oxonienne : voyages, réflexion, plaisir.
Avec Des Caraïbes au Mexique, il s'embarque à bord d'un paquebot puis d'un bananier et s'abandonne au discret roulis de la digression. Laissant à quai tous les clichés du kitsch et de l'exotisme en lin blanc, il part à la dé- couverte de l'Amérique centrale. Il se passionne pour la civilisation maya - celle du death-appeal qu'il oppose à la nôtre, celle du sex-appeal - étudie l'art indien, dé- nonce la montée du nationalisme - l'une des obsessions récurrentes de toute son oeuvre - lit des livres d'an- thropologie, prend le train et l'avion sous un soleil de plomb. Et trouve même l'occasion de s'arrêter à Oaxaca dont Malcom Lowry fera le purgatoire de l'alcoolisme.
Huxley prend du recul, renverse les perspectives, esca- lade les montagnes, s'interroge sur la modernité. Vision du monde au-dessus du volcan.
-
«Dans leur petit pavillon, les Claxton menaient une vie de la plus haute spiritualité. Même le chat était végétarien, du moins officiellement...»Dès la première phrase du livre, le ton est donné, ce mélange d'intelligence et d'humour, de satire implacable et d'humanité douloureuse qui est le propre d'Aldous Huxley. On trouvera dans ce volume six «romans concentrés» : Les Claxton, La cure de repos, Le sourire de la Joconde, Le petit Mexicain, Chawdron, Le jeune Archimède, autant de petits chefs-d'oeuvre qui jouent magistralement sur toute l'étendue des émotions humaines, du rire à la désolation révoltée. On y verra aussi les derniers moments d'une Italie stendhalienne aujourd'hui disparue, où Huxley parle du bonheur comme seuls de très grands écrivains savent le faire.
-
En vacances en Italie, le narrateur et sa femme font la connaissance du petit Guido, un enfant du village ; il ne sait ni lire ni écrire, mais est incroyablement doué pour la musique et les mathématiques. À six ans, il est capable de démontrer le théorème de Pythagore plus simplement qu'Euclide ! Aldous Huxley fait preuve d'un humour et d'une humanité qui placent ces deux courts romans parmi les plus belles pages de l'auteur du Meilleur des mondes.
-
Brave New World Revisited (Vintage Classics)
Aldous Huxley
- Random House Uk
- 2 Septembre 2004
- 9780099458234
In his 1932 classic dystopian novel, Brave New World, Aldous Huxley depicted a future society in thrall to science and regulated by sophisticated methods of social control.
-
De la vulgarité en littérature ; divagations sur un thème
Aldous Huxley
- L'Inventaire
- 6 Avril 2009
- 9782910490973
Surtout connu pour son Meilleur des Mondes (1932) et ses Portes de la Perception (1954) dont la génération hippie devait s'inspirer, Aldous Huxley (1894-1963), homme de lettres anglais, installé aux Etats-Unis dès 1937, montre, tout au long de son oeuvre, un intérêt profond pour ce qu'il nomme la "situation humaine". Son ultime texte, Literature and Science (1963), en témoigne tout particulièrement.
Souvent considéré comme un auteur de science-fiction, Huxley est en réalité un érudit éclectique, curieux, sceptique. Ses analyses, d'une vertigineuse simplicité dans un mouvement subtil de métaphores, de mises en abyme et de paradoxes frappants, sont étrangement annonciatrices de notre XXIe siècle. Ses nombreux essais littéraires et philosophiques, dont De la vulgarité en littérature (1930), considéré dans le monde anglo-saxon comme un texte important, sont insuffisamment connus et cités en France.
En 1930, Huxley, qui a acquis une notoriété parfois scandaleuse, écrit, en France, De la vulgarité en littérature. C'est dans un dialogue incessant entre espaces, temps, corps et champs de la connaissance, étroitement liés à ceux de l'expérience, qu'il déroule sa réflexion, en pratiquant un jeu d'alternances et de contradictions, proposé avec sagacité à la sagacité du lecteur. Et la conclusion reste ouverte.
Méditation sur l'art, la philosophie et l'histoire, les moeurs, la morale, la culture (ou l'inculture) moderne, ce texte profondément littéraire pose la question du rôle que l'écrit peut jouer dans notre société, en particulier dans les relations que doivent entretenir la science et l'art.
La vulgarité, mot que s'approprie Madame de Staël à l'aude du XIXe siècle (1800), après la Révolution française, pour désigner une nouvelle société qui s'écarte de l'idéal des Lumières, incarne bien l'instabilité des normes : on est toujours le vulgaire de quelqu'un. Ce que montre implicitement Huxley, c'est la fragilité, la vanité de l'homme face aux cycles de la vie et aux irréversibilités du processus créatif (qui tend, par là, à l'entropie). L'homme a-t-il une action sur le monde? Le balancement incessant des états qu'il traverse peut faire l'objet d'une métaphore poétique, à condition que l'individu en accepte modestement le secret, c'est-à-dire l'impossibilité d'une connaissance totale.
-
-
-
-
Si l'organisation de la société est mauvaise (comme l'est la nôtre), et si un petit nombre de gens ont le pouvoir sur la majorité et l'oppriment, toute victoire sur la Nature ne servira inévitablement qu'à accroître ce pouvoir et cette oppression.
C'est ce qui se produit présentement ". Il s'est écoulé près d'un demi-siècle depuis que Tolstoï a écrit ces mots, et ce qui se produisait à cette époque a continué à se produire depuis lors. La science et la technique ont fait des progrès notables au cours des années écoulées - et il en est de même de la centralisation du pouvoir politique et économique, il en est de même de l'oligarchie et du despotisme.
Il est à peine besoin d'ajouter que la science n'est pas le seul facteur qui intervienne dans cette affaire. Aucun mal social ne saurait avoir une cause unique. D'où la difficulté dans n'importe quel cas donné, de trouver un remède complet. Tout ce que nous soutenons ici, c'est que la science en progrès est l'un des facteurs intervenant dans le déclin progressif de la liberté et dans la centralisation progressive du pouvoir, qui se sont produits au cours du XXe siècle.
Grand format 10.70 €Indisponible
-
-
-
Cercle vicieux
Aldous Huxley
- Nouvelles Editions Latines
- Les Maitres Etrangers
- 24 Avril 2008
- 9782723305747
-
Le banquet Tillotson
Aldous Huxley
- Le Livre De Poche
- Le Livre De Poche Bilingues
- 22 Novembre 1989
- 9782253049104
-
-
Portée par des femmes courageuses et attachantes, l'épopée des Seliverstoff se raconte sur trois ou quatre générations. Elle déroule l'histoire d'une famille qui avait fourni des chefs militaires, des juristes, et des personnes dévouées à leur pays. Puis vinrent le XXe siècle et la révolution bolchevique. Cécile et son époux firent face de leur mieux à des défis inhumains. Ils surmontèrent la pauvreté, les famines, l'exil et les incarcérations de leur progéniture. A leurs six enfants, ils insufflèrent le courage et la culture qui les aidèrent à surmonter les épreuves les plus dures. Tous, ils révèrent de se retrouver à Paris. Un train imaginaire, construit de chaises, devait les y conduire. De leurs récits alternés ressort la force de l'âme slave et la vigueur de caractère avec lesquelles jeunes et vieux luttèrent pour s'octroyer le droit à la vie. Finalement, les petits-enfants Seliverstoff assistèrent à l'écroulement du régime. Mais le viatique s'était épuisé. Le pire dans le communisme, a-t-on dit, c'est ce qui vient après. La dernière génération finit par y succomber.
-
-
Des Caraïbes au Mexique ; journal d'un voyageur
Aldous Huxley
- Table Ronde
- 21 Février 1992
- 9782710305125
-
Moksha est une anthologie des écrits d'Aldous Huxley concernant les drogues hallucinogènes, en particulier la mescaline et le LSD.
Le titre (un mot sanscrit signifiant libération) est le nom du champignon que consomment les protagonistes de son roman Ile, drogue libératoire par opposition à celle abrutissante que sont obligés de consommer les héros du Meilleur des Mondes. Aldous Huxley (1894-1963), romancier américain d'origine anglaise, a eu non seulement une expérience personnelle de ces drogues mais en a longuement parlé dans nombre de ses ouvrages, outre ceux cités plus haut, tels que Les portes de la perception et Le ciel et l'enfer.
Moksha n'était plus disponible en français depuis de très nombreuses années.
Grand format 15.00 €Indisponible
-
-
As an acclaimed novelist, Miles Fanning is well used to the unwanted attentions of his fans. Yet little prepares him for the determination of the gauche Pamela Tarn who resolves to enter not only his world, but also his bed. Yet as they are inexorably drawn together, they embark upon a tempestuous - and ultimately destructive - affair.